Grossesses et fausses couches à répétition
Lorsque l’on décide de faire un bébé, on n’a aucune idée du temps que cela va prendre pour que ce projet se concrétise. On peut tomber enceinte rapidement ou pas, le foetus peut tenir ou pas, on peut passer par la case PMA ou pas… Tout est très incertain.
Mathilde, elle, est toujours tombée enceinte en un claquement de doigts. Génial de ne pas avoir à attendre de longs mois que le test soit positif ! Oui mais… Mathilde aura fait des fausses couches à répétition – quatre en tout – avant d’enfin vivre une grossesse sans saignement et sans coeur qui ne s’arrête de battre.
J’ai vécu mes fausses couches dans une grande solitude et ça m’a fait tellement de peine, tellement de mal.
Mathilde
Alors comment a t-elle traversé cet ascenseur émotionnel pendant deux ans ? Comment vivre enfin sa grossesse sans la peur qu’elle s’arrête trop tôt ? Entre tristesse, peur, doutes, jalousie, et mépris de son corps, Mathilde nous raconte « ses presques riens » comme elle les appelle n’ayant jamais trop su quel nom donner à ses grossesses arrêtées. Elle nous parle de sa solitude, de l’incompréhension de l’entourage face à son mal-être et du jour où, enfin, elle a pu tenir son bébé dans ses bras.
Bonne écoute !
Pour échanger sur le sujet abordé avec Mathilde rendez-vous sur Instagram sous la photo de l’épisode 57 ! Retrouvez également le livre illustré « Mes presques riens« .
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Je vous dis à mardi prochain pour un nouvel épisode !