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MATERNITÉ

15 séries « famille » cultes des années 90

Parfaitement imparfaites, toutes ces familles cultes du petit écran ont rythmé notre enfance jusqu’à l’adolescence. Nombreuses, adoptives, riches, moins riches, recomposées… retrouvez les personnages mythiques du Prince de Bel Air, de la Fête à la Maison, d’une Nounou d’enfer et bien d’autres qui vont vous remémorer de bons souvenirs. Si comme moi vous avez grandi un peu de nostalgie.

Le Prince de Bel Air

Sur les conseils de sa mère, Will, un adolescent de 17 ans débrouillard, quitte Philadelphie et son milieu modeste pour s’installer chez sa tante et son oncle (les Banks) à Los Angeles, afin d’avoir de meilleures chances de réussite dans la vie. Les Banks vivent dans une grande maison de Bel Air et sont habitués à un train de vie aisé.

C’est ainsi que Will, fan de rap et de basket-ball, va découvrir une nouvelle famille et une nouvelle vie, où les repas sont servis par un majordome. Évidemment, les conflits de classes sociales mènent à des situations drôles et rocambolesques.

La fête à la maison

Danny Tanner élève seul ses trois filles : Donna-Jo (dite DJ), Stéphanie et Michelle, à la suite de la mort accidentelle de sa femme, Pamela. La famille vit à San Francisco au 1882 Girard Street et afin d’aider le père de famille dans l’éducation de ses filles, son meilleur ami Joey Gladstone et son beau-frère Jesse Katsopolis viennent s’installer chez lui.

Malcom

Macolm est le troisième d’une fratrie de quatre garçons. Lui est surdoué, et avec ses trois frères de caractères complètement différents, ils en font voir de toutes les couleurs à leurs parents. Lois, la mère, est autoritaire et déjantée quand le père Hal, n’a absolument aucun sens des responsabilités et laisse sa femme prendre toutes les décisions.

Arnold et Willy

Monsieur Drummond, veuf milliardaire, a promis à sa gouvernante, mourante, de s’occuper de ses deux fils. C’est ainsi qu’il accueille deux garçons noirs et pauvres : le jeune Arnold, 8 ans, et son frère Willy, 13 ans, qui ont grandi dans le quartier défavorisé de Harlem. Arnold et Willy se retrouvent donc dans un luxueux appartement à Manhattan avec la fille de Monsieur Drummond, Virginia, âgée de 13 ans, et une femme de ménage plutôt marrante mais adorable, Madame Garret. Le changement de statut social et le choc des cultures est assez déroutant pour les deux enfants.

Mariés, deux enfants

Bienvenue dans la vie de famille des Bundy : Al, le père, déteste son travail de vendeur de chaussures, et n’est heureux que dans son canapé devant la télé. Tout l’exaspère, même sa famille : sa fille, Kelly, stéréotype de la blonde écervelée ; son fils Bud, attend avec impatience sa première expérience sexuelle ; sa femme Peggy mère au foyer, adore faire du shopping avec l’argent de son mari. En vingt ans de mariage, elle n’a jamais fait ni la cuisine, ni la vaisselle, ni lavé le linge, et adore rester devant la télé quand Al est au travail, ou faire du shopping avec le peu d’argent que gagne son mari donc le frigo reste toujours vide. Le chien Buck assiste passivement à la vie des Bundy.

Roseanne

La série raconte la vie de la famille Conner, dans la ville fictive de Lanford, dans l’Illinois. Roseanne et Dan tous deux ouvriers, font de leur mieux pour faire vivre leur foyer avec leurs modestes revenus et élever leurs enfants Darlene, Becky et D.J. (puis Jerry Garcia à partir de la saison 8).

Les thèmes abordés sont aussi variés qu’étonnants pour l’époque et le continent : délinquance, drogue, alcool, alcoolisme, racisme, homosexualité masculine et féminine, bisexualité, confusion sexuelle, menstruations, mariage gay et adoption, sexe et grossesse chez les adolescents, contraception, avortement, masturbation, maltraitance, obésité, classes sociales, féminisme, etc.

Une nounou d’enfer

Fran découvre que son petit ami, qui par la même occasion est son patron, la trompe avec une employée. Mise à la porte, mais ne se laissant pas démonter, Fran s’essaye alors au porte à porte pour vendre des produits de beauté à Manhattan et par chance, au cours de sa tournée des hôtels particuliers, tombe sur une maisonnée où l’on recherche désespérément une nounou d’enfants. Elle se propose donc pour cet emploi auquel elle ne connaît rien. Son employeur n’est autre que le célèbre Maxwell Sheffield, producteur de comédies musicales, veuf et père de trois têtes blondes par qui il se laisse un peu déborder tout en faisant preuve de trop de rigueur.

Notre belle famille

Frank Lambert, entrepreneur divorcé (son ex-femme est partie pour Las Vegas) et père de trois enfants, se marie à la Jamaïque, sur un coup de tête, avec Carol Foster, une divorcée, elle aussi mère de trois enfants… sans que leurs enfants respectifs le sachent, mais ceux-ci ne tardent pas à apprendre la vérité. Les enfants de Frank s’entendant mal avec ceux de Carol, la famille recomposée va rencontrer bien des difficultés.

Punky Brewster

Punky Brewster, orpheline amusante et débrouillarde abandonnée par sa mère à l’âge de sept ans, est adoptée par Henry Warnimont, un vieux photographe vivant à Chicago. 

Le père de Punky avait abandonné sa famille. Peu de temps après, Punky fut abandonnée par sa mère qui la déposa dans un supermarché de Chicago et disparut. Punky resta seule, avec pour seul compagnon son petit chien, Bandit, puis elle découvrit un appartement vacant dans un immeuble.

L’immeuble était géré par le photographe Henry Warnimont, un vieux grincheux.

Madame est servie

Ex-champion de baseball et veuf, Tony Michelli souhaite quitter Brooklyn pour offrir un cadre de vie plus agréable à sa fille Samantha. Il devient alors homme à tout faire chez une famille aisée du Connecticut et découvre la vie d’Angela Bower, une riche femme d’affaires séparée de son mari, son fils Jonathan et sa drôle et séduisante mère, Mona.

La vie à cinq

Après la mort accidentelle de leurs parents, cinq frères et sœurs font face aux difficultés de la vie tout en essayant de rester une famille unie. Charlie, l’aîné de la fratrie, se retrouve à travailler tout en gérant les crises d’adolescence de ses frères et sœurs, mais également ses propres problèmes existentiels.

La vie de famille

La famille Winslow à Chicago dont la vie est bouleversée par l’arrivée de Steve Urkel, un voisin terriblement maladroit et envahissant et éperdument amoureux de leur fille Laura.

Ma famille d’abord

Michael Kyle est un mari aimant et un père de famille comblé qui vit à Stamford dans le Connecticut. Mais il n’est pas toujours simple d’élever ses trois enfants : entre un fils idiot, naïf qui ne sait pas quoi faire et ne dit que des bêtises, une fille adolescente superficielle qui a tous les garçons à ses pieds et la plus jeune Kady qui profite de son statut de benjamine pour obtenir ce qu’elle veut, on ne s’ennuie pas avec la famille Kyle.

Sept à la maison

Le pasteur Eric Camden et son épouse Annie élèvent leurs sept enfants dans la petite ville de Glen Oak en Californie. Cette série montre les difficultés et les avantages d’une famille nombreuse. Chaque épisode donne lieu à une réflexion sur la vie, ses épreuves, ses joies et sur l’aide que la religion peut apporter face à ces problèmes. Au cours des épisodes, les expériences de la vie servent de leçons de morale avec une référence forte à la religion. L’accent est mis sur l’évolution morale des personnages.

Ricky ou la belle vie

Ricky débarque dans la vie de son père, Edward Stratton, un créateur de jouets milliardaire qu’il n’a jamais connu. Pour éviter l’école militaire dans laquelle sa mère l’a envoyé, Ricky convainc son géniteur de le laisser vivre avec lui.

Alors nostalgique ou pas ? Quelle était votre série préférée ? Venez répondre ici !

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